At 81 years outdated, the Bavaroise Helma Sick, travaille toujours. “Greater than ever”, she assured her -told her. Conseillère en funds, she based in 1987 Frau & Geld (femme et argent), a société de conseil qui aide les mères de famille démunies when vient l’heure de la retraite. In plus de trente ans, she receives quelque thousand hundreds of shoppers, dont the plupart, explain-t-elle depuis are cupboard de Munich, “dans une state of affairs matérielle désespérée. Le schéma est immuable. Une fois qu’elles deviennent mères, les Allemandes ont tendance à abandonner leur vie professionnelle, aussi diplômées soient-elles, et à ne reprendre une activité que bien plus tarde.” Automotive the social stress stays robust. For the knowledgeable, the Nazi ideology of “3K” (Kinder, Kuche, Kirche, enfants, delicacies, église) imprègne toujours l’inconscient collectif. Et même si sous l’ère Merkel, il eu des progrès, notamment avec la multiplication des crèches et des écoles ouvertes toute la journée, au lieu du matin seulement, les expressions très dépréciatives de “Raben-Mutter” (mère corbeau) ou “Karriere-Frau” (femme carrierste) are loin d’appartenir au passé.
Resultat, la retraite moyenne, who’s 1,200 euros for males, dégringole à 728 euros for ladies. Les Allemandes de l’Ouest de la génération du baby-boom are notably dangerous heaps. “Elles ont été poussées à rester au lobby, détaille Helma Sick. Après les enfants, elles sont occupyées des mother and father âgés, ont fait un peu de bénévolat, ont parfois repris une activité, mais en général à temps partiel.” Dans les années du miracle économique, the chancelier Adenauer ne cessait en effet de répéter that prosperité rimait avec mère au lobby. On n’allait pas resembler aux femmes de la GDR, qui elles “étaient obligées d’aller à l’usine” ajoute-t-elle ella.
A return to the arrière chez les diplomaes
In revenge, à l’Est les femmes ont travaillé, ne s’arrêtant que temporairement (le temps d’un “BabyJahr”, un pour le bébé), earlier than reprimanding the lively life. Ce qui explica que leur retraite à elles s’élève en moyenne aujourd’hui à 1,000 euros.
Ce qui désole Helma Sick, c’est que me dans la jeune génération, les femmes continuent de s’arrêter de travailler, sitôt le deuxième, voire le premier enfant arrivé. “I’ve already had a type of return to the arrière, notamment chez les diplomaes that I do not clarify to me.” In 2017, the chercheurs Michaela Kreyenfeld and Dirk Konietzka revealed an article titled “Un enfant ou un emploi, les dilemme des Allemandes”, wherein in addition they freeze the parental congé pour les pères a du mal à entrer dans les mœurs. Ils constataient: “Les « mois des papas » ont aroused des critiques et ont été régulièrement tournés en dérision dans les médias, qui y voyaient des levels pour apprendre à changer les couches (Wickel-Voluntariat). Les politiciens conservateurs, quant à eux, ont consideré que c’était une intrusion illégitime dans la sphère privée.”
A masculine and formaté political world
Conséquence de cette pression dans un pays qui seize ans durante a été dirigé par une chancelière sans enfant, l’Allemagne a des taux de natalité les plus bas au monde avec 1,5 enfant par femme. D’ailleurs, le chancelier Scholz et sa femme de él Britta Ernst non plus n’ont pas d’enfant. In 2018, the statisticians’ workplace established {that a} lady on the cinq outre Rhine is sans enfant. Chez les diplomaes, c’était une sur quatre, avec des pics dans les grandes villes d’Allemagne de l’Ouest: 27% à Berlin et même 31% à Hambourg.
“Les forces d’opposition au travail des mères restent fortes, enrage Helma Sick, notamment dans le monde politique qui demeure très masculin et très formaté. Les mentalités ont du mal à évoluer.” Pour preuve, souligne-t-elle, nous avons deux ministeres verts au gouvernement. Robert Habeck, minister of financial system and vitality, for 4 kids, and Annalena Baerbock, minister of overseas affairs and sisters. “Devinez à qui on demand touch upon concilie vie professionnelle et vie privée ? Qui a constamment à se justifier. Baerbock bien sûr.”
.